Après les combats extrêmes du 22 Août 1914 sur les champs de bataille d’Ochamps, Bertrix, Maissin, Anloy et Graide, l’envahisseur organise des soins pour ses blessés et réquisitionne la caserne régimentaire et l’Hôtel de la Poste à BOUILLON. Une pharmacie est également approvisionnée par l’ennemi pour subvenir davantage à leurs victimes.